Nous c’est Yasmine et Jean-Guillaume. Yas a grandi à la Réunion et moi JG je suis franco-péruvien j’ai grandi à Paris. Ici, nous allons te raconter l’histoire de l’équipe : qui on est et comment on en est arrivé à fonder Pitumarka.
Le point de départ …
Tout a démarré à partir d’une prise de conscience à la fois professionnelle et écologique.
Bien sûr, cette prise de conscience n’est pas apparue toute seule un matin en se réveillant, mais bien petit à petit. Un peu comme tout le monde, nous prenons conscience un peu plus chaque jour de l’environnement qui nous entoure et des enjeux de notre société moderne. A travers nos discussions quotidiennes tous les 2, mais aussi avec nos potes et nos collègues, nous discutons de l’actualité, des enjeux climatiques, de la planète, des gens… Nous nous influençons mutuellement jusqu’à nourrir notre propre réflexion qui nous fait parfois bien cogiter.
Premièrement Yasmine a été une énorme source d’influence positive pour moi et a été pro active sur notre enjeu environnemental en tant que citoyen et en tant qu’humain habitant sur cette planète : elle a souhaité rapidement qu’on change nos habitudes au quotidien, qu’on se renseigne sur la situation écologique actuelle et qu’on agisse de façon factuelle et durable.
Avec cette prise de conscience, le message était clair : il fallait qu’on œuvre tous les 2 à notre niveau pour faire avancer les choses sur le plan environnemental.
Envie de faire autre chose : le virage professionnel
A côté de ça, il y a bien sûr le boulot. L’activité qui te permet de payer ton loyer et remplir ton frigo.
Tu as déjà remarqué comme les années défilent quand on est en poste ? Parfois on se retrouve à bosser dans des environnements qui ne sont pas complètement en phase avec ce que nous estimons épanouissant pour nous-même. Mais quand on est embarqué dans cette routine avec le salaire qui tombe tous les mois, le confort, les collègues trop cools, les congés payés, il est difficile de changer complètement de voie.
Le déclic pour moi est arrivé courant avril 2019 : j’étais arrivé à un point où j’avais envie de quitter le salariat et de faire autre chose : je souhaitais « investir » mon temps et mon énergie dans quelque chose d’utile pour moi, pour les gens, pour la planète : en résumé, faire quelque chose de plus centré sur mes valeurs, et ayant plus de sens.